Rappelons que depuis quelques semaines l’ASN et l’IRSN ont définitivement fusionné.

L’IRSN n’avait aucune indépendance contrairement à l’ASN. Cette dernière dans les premiers mois de mon combat contre les armes à uranium appauvri a répondu à mes questions et même organisé un contrôle à Canjuers, alors que l’IRSN était caractérisée par son opacité et sa négation des effets des faibles doses d’émetteurs alpha, mis à part quelques rares articles d’un nombre limité de chercheurs (torturant souvent des poissons Danio rerio). Le fait est que l’IRSN est en partie responsable de l’opacité sur la dangerosité des armes à uranium appauvri. Comparons avec ces scientifiques américains liés aux forces armées US…

En d’autres termes l’IRSN a passé son temps à nier les effets radiotoxiques de l’uranium appauvri pour la reconnaissance desquels je me suis battu, m’appuyant entre autres sur les travaux de Maurice-Eugène André, alors que ces scientifiques, notamment du Science Research Department, Armed Forces Radiobiology Research Institute, Radiology and Radiation Sciences Department, Uniformed Services University of the Health Sciences, Bethesda, MD 20889, United States, ont reconnu l’effet radiologique carcinogène dès 2017. C’est d’ailleurs un papier que je regrette de ne pas avoir découvert tout de suite… mais je le cite très fréquemment depuis que je l’ai découvert (article AJMCR sur les blessures traumatiques du cerveau).

L’IRSN est donc intégrée aujourd’hui dans une Autorité indépendante. Je pense que cela va changer la nature de ses travaux mème si je reste prudent car l’habitus (pour parler comme Bourdieu) d’hétéronomie peut persister. Le problème de sa faible indépendance était bien à l’origine de la proposition de fusion :

La fusion a été opposée par la gauche radicale et à mon avis, ce combat de la gauche et de l’extrême-gauche est un combat keynésien. La radioactivité sert au contrôle des populations par méthodes crématoires. Elle permet de “réémettre” de la monnaie en éliminant les créditeurs de l’Etat par des méthodes crématoires. L’argent a été créé par le crédit, qui est une émission monétaire compensée par une obligation de remboursement, mais il n’y a plus à rembourser puisque le créditeur a été effacé dans un four, c’est la version moderne de ce qui s’est passé avec les Assignats sous la Révolution française où des assignats nouveaux étaient émis sur la base des biens des victimes guillotinées, alors que d’anciens assignats étaient déjà gagés sur ces biens, conduisant à l’inflation. La différence est qu’avec la méthode crématoire il y a en plus la valeur apparente du plutonium (en réalité de mauvaise qualité, trop riche en U238) résultant de la crémation qui semble compenser, peut surtout servir pour la guerre, pour tenter d’éliminer d’autres créditeurs avec les bombes ou les obus… d’où l’apparent cycle. Ces méthodes radicales s’inspirent de l’URSS de Khrouchtchev et de la Chine populaire. Keynes était aussi sympathisant de l’Allemagne nazie, il a proposé “l’euthanasie des rentiers”, c’était évidemment l’objectif.